Ce blog se veut un outil pour m'aider à, d'une part, libérer mon souffle de vie ou si vous voulez, mon élan vital et, d'autre part, à développer ma pleine conscience.
C'est donc un outil personnel. Il n'est nullement un outil visant à propager certaines idées, certains enseignements. Cependant, je rends disponible les prises de conscience et les enseignements qui me nourissent.
Sans s'y restreindre, ce blog s'inspire en grande partie de l'Adhyatma yoga et plus particulièrement de l'enseignement d'Arnaud Desjardins. D'autres sources d'inspiration sont les enseignements bouddhistes zen et tibétains, la psychologie, la psychothérapie, les sciences naturelles, etc. D'ailleurs, certaines oeuvres d'auteurs tels que Arnaud Desjardins, Mathieu Ricard, Erich Fromm, Jiddu Krishnamurti, Guy Corneau, Scott Peck, Khalil Gibran, Eckart Tolle, Ouspensky (Fragments d'un enseignements inconnu), Thich Nhat Hanh, Gandhi, Jon Kabat-Zinn, Hubert Reeves, Albert Jacquard, etc. font partie intégrante de ma bibliothèque personnelle.
Le nom du blog "Oroborus: souffle de vie" se découpe en deux partie que je me dois d'expliquer.
Selon Wikipedia, « Oroborus » désigne le dessin d'un serpent ou d'un dragon qui se mord la queue. D'un point de vue symbolique: « (...) la forme circulaire de l'image a donné lieu à une autre interprétation: l'union du monde chthonien (du grec khthôn : « qui est né de la terre », qualificatif appliqués aux dieux infernaux), figuré par le serpent, et celui du monde céleste, figuré par le cercle. Cette interprétation serait confirmée par le fait que l'Ouroboros, dans certaines représentations serait moitié noir, moitié blanc. Il signifierait ainsi l'union de deux principes opposés, soit le ciel et la terre, soit le bien et le mal, soit le jour et la nuit, soit le Yang et le Yin chinois, et toutes les valeurs dont ces opposés sont les porteurs. Une autre opposition apparait dans une interprétation à deux niveaux : le serpent qui se mord la queue, en dessinant une forme circulaire, rompt avec une évolution linéaire, marque un changement tel qu'il semble émerger à un niveau d'être supérieur, le niveau de l'être céleste ou spiritualisé, symbolisé par le cercle; il transcende ainsi le niveau de l'animalité, pour avancer dans le sens de la plus fondamentale pulsion de vie; mais cette interprétation ascendante ne repose que sur la symbolique du cercle, figure d'une perfection céleste. Au contraire, le serpent qui se mord la queue, qui ne cesse de tourner sur lui-même, s'enferme dans son propre cycle, évoque la roue des existences, le Samsâra, comme condamné à ne jamais échapper à son cycle pour s'élever à un niveau supérieur: il symbolise alors le perpétuel retour, le cercle indéfini des renaissances, la continuelle répétition, qui trahit la prédominance d'une fondamentale pulsion de mort. »
Selon Wikipedia, « Oroborus » désigne le dessin d'un serpent ou d'un dragon qui se mord la queue. D'un point de vue symbolique: « (...) la forme circulaire de l'image a donné lieu à une autre interprétation: l'union du monde chthonien (du grec khthôn : « qui est né de la terre », qualificatif appliqués aux dieux infernaux), figuré par le serpent, et celui du monde céleste, figuré par le cercle. Cette interprétation serait confirmée par le fait que l'Ouroboros, dans certaines représentations serait moitié noir, moitié blanc. Il signifierait ainsi l'union de deux principes opposés, soit le ciel et la terre, soit le bien et le mal, soit le jour et la nuit, soit le Yang et le Yin chinois, et toutes les valeurs dont ces opposés sont les porteurs. Une autre opposition apparait dans une interprétation à deux niveaux : le serpent qui se mord la queue, en dessinant une forme circulaire, rompt avec une évolution linéaire, marque un changement tel qu'il semble émerger à un niveau d'être supérieur, le niveau de l'être céleste ou spiritualisé, symbolisé par le cercle; il transcende ainsi le niveau de l'animalité, pour avancer dans le sens de la plus fondamentale pulsion de vie; mais cette interprétation ascendante ne repose que sur la symbolique du cercle, figure d'une perfection céleste. Au contraire, le serpent qui se mord la queue, qui ne cesse de tourner sur lui-même, s'enferme dans son propre cycle, évoque la roue des existences, le Samsâra, comme condamné à ne jamais échapper à son cycle pour s'élever à un niveau supérieur: il symbolise alors le perpétuel retour, le cercle indéfini des renaissances, la continuelle répétition, qui trahit la prédominance d'une fondamentale pulsion de mort. »
Quant au terme « Souffle de vie », c'est une expression que j'aime utiliser pour expliquer la sensation de vitalité et de pleine conscience qui m'habite parfois et que j'aimerais faire perdurer durablement. C'est l'énergie de vie qui habite tous les êtres vivants et qui les pousse à produire les fruits qu'ils portent en eux.
Pris ensemble, le symbole de l'Oroborus et le terme « souffle de vie » permettent de comprendre ce qui anime mon intérêt à nourrir ce blog, et donc, à me nourrir.
Bonne lecture!